18 équipes au départ, 2 à l’arrivée. Dimanche 26 mai à 20h s’est tenu la finale de l’EuroLeague opposant le Real Madrid face au Panathinaïkos.
Cet article a été écrit par Daryl Pancrace.
Les Madrilènes abordent cette finale après avoir signé une superbe saison en s’offrant une 29ème Coupe du Roi et une Supercoupe d’Espagne. Quant à elle, l’équipe du Panathinaïkos réalise une belle saison en étant première du championnat Grec et réalisant un beau parcours en EuroLeague qu’elle aimerait conclure par une victoire qui l’emmènerait sur le toit de l’Europe.
Des supporteurs Madrilènes et du Panathinaïkos sont en feu, comme le début de match des deux équipes qui affichent une adresse insolente à 3 points pendant les 2 premières minutes notamment avec Eli Ndiaye (inscrit les 8 premiers points du Real Madrid).
Une première mi-temps à l’avantage du Real (54-49) qui s’est montrée adroite notamment en inscrivant 36 points dans le premier quart-temps. Néanmoins je trouve que la première mi-temps était assez fermée, impossible de définir un gagnant.
Cela s’est confirmé en deuxième mi-temps sur le nombre de points inscrits, 15 pour le Panathinaïkos, seulement 7 pour le Real Madrid. Cela suffit au Panathinaïkos pour passer devant le Real de 3 petits points. Un Mathias Lessort solide a tout simplement été impérial dans la dissuasion des shoots adverses, principale responsable des 7 points inscrits par les Madrilènes.
Kendrick Nunn en patron a pris ses responsabilités en jouant avec la défense du Real (21 points). Tout le monde pensait que le Real Madrid allait réagir dans le 4ème quart temps, mais l’excellente gestion du score des joueurs du Panathinaïkos a tout changé, malgré un Sergio Llull qui n’a rien lâché, ramenant son équipe à 2 points.
Le Panathinaïkos sur le toit de l’Europe
Malheureusement pour les Madrilènes, Konstantínos Sloúkas existe : 24 points, 4/4 à 3 points. Celui-ci n’a pas cédé à la pression et a enterré le Real avec ses shoots. Surpris également par le manque d’adresse à 3 points des Madrilènes, seulement 30,6%, ce n’est pas horrible mais très insuffisant face au 54,5% des joueurs du Panathinaïkos.
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